1
L’ancre de ta vie est-elle fixée,
Quand l’orage gronde et veut te couler ?
Quand les ancres tirent sous les marées,
Pourras-tu tenir, ne point lâcher ?
Quand l’orage gronde et veut te couler ?
Quand les ancres tirent sous les marées,
Pourras-tu tenir, ne point lâcher ?
Notre âme à l’ancre tient fermement,
Sûre et solide sous les grands vents,
Fixée à l’immuable rocher,
À l’amour du Fils qui nous a sauvés.
Sûre et solide sous les grands vents,
Fixée à l’immuable rocher,
À l’amour du Fils qui nous a sauvés.
2
Elle est amarrée, défiant tous les flots,
La main de Dieu veille sur mon bateau.
Les cordages vont de Son cœur au mien,
Rien ne les rompra : ils sont divins.
La main de Dieu veille sur mon bateau.
Les cordages vont de Son cœur au mien,
Rien ne les rompra : ils sont divins.
3
Lorsque les brisants montrent un récif,
Rien ne fait trembler mon frêle esquif.
Sous les coups sauvages de l’ouragan,
Nulle vague au loin ne le surprend.
Rien ne fait trembler mon frêle esquif.
Sous les coups sauvages de l’ouragan,
Nulle vague au loin ne le surprend.
4
L’ancre nous tiendra dans les flots de mort,
Qui font frémir, loin de notre port.
Elle est sûre et forte dans la marée,
L’espoir au-delà du voile ancré.
Qui font frémir, loin de notre port.
Elle est sûre et forte dans la marée,
L’espoir au-delà du voile ancré.
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